Des vidéos d'explication ou de témoignage


Ils nous ont dit :



Patrice, commerçant retraité :


"Ce qui m’a plu c’est l’idée de détacher les gens d’une passion collective générée par les partis et de construire un vrai projet transpartisan en travaillant sur les besoins de chacun et en donnant la parole à tous."



Jonathan 30 ans, ingénieur :


"C’est un projet un peu fou, c’est justement ce qui donne envie d’y aller, comme une petite étincelle qui s’allume.
Aujourd’hui, les politiques ne comprennent pas ce qu’est un citoyen aujourd’hui. Ce qui me motive également, c’est de donner une vraie place à l’environnement."



Elisabeth, 73 ans, retraitée du secteur social :


"Au début, je me suis interrogée sur la faisabilité. Et en avançant avec les autres, en s’écoutant, en réfléchissant, j’ai compris que l’on pouvait réinterroger une réalité que l’on prenait pour acquise et qu’il était possible d’y croire. Je me dis que j’aurais participé à un mouvement qui fait avancer les choses, et ça c’est important pour moi."



Mani, médiateur familial :


"Ce qui me motive, c’est d’améliorer la qualité de vie d’un maximum de gens sur la planète. La démocratie a besoin d’évoluer pour aller vers moins de concentration des pouvoirs. Il faut rétablir la balance pour résoudre les grands défis de la société. J’ai confiance en l’être humain. Avec les connaissances qu’on a aujourd’hui, on peut faire beaucoup mieux."



Bérengère, 53 ans, éleveuse de chevaux :


"Ce qui m’a séduit, c’est l’idée de gouvernance partagée et c’est cette conviction que l’on ne peut pas laisser ce monde-là à nos enfants. Que l’on est responsable et que l’on doit passer à l’action. Bien qu’issue d’une famille très politisée, je me suis désengagée de la politique pendant des années. Avec ce projet, j’ai retrouvé un espoir."



Julia, 30 ans, professeur d’espagnol et accompagnatrice en montagne :


"La rencontre avec ce projet m’a un peu "soignée" de ma misanthropie. J’ai réalisé qu’on ne peut pas faire sans les autres. Même si au fond, j’ai la sensation qu’on ne va pas y arriver, être là avec les autres, faire du lien, se sentir utile, cela a un impact positif dans mon quotidien. En travaillant sur la charte du mouvement, j’ai ressenti de la joie, de l’enthousiasme et une forme de responsabilisation (empowerement)."


Notre charte